Françoise rencontre Lilou Macé

Il y avait longtemps que Françoise avait ce désir au cœur : rencontrer Lilou Macé ; pensez donc la super grande blonde franco-américaine qui a une télé sur le net.

Mais surtout, qui fait des interviews sur des sujets qui la passionnent. Enfin pas tous, pour être franche, mais, la plus part.

Partie assister à un évènement important dans une grande ville de France : toulouse, Françoise arrive à son hôtel. D’un naturel organisé, elle part aussitôt en repérage des lieux afin de ne pas se prendre la tête pour le lendemain, journée de la manifestation pour laquelle elle a fait ce voyage.

L’hôtel dans lequel elle est descendue n’est pas trop mal, y a mieux, mais il a l’avantage d’avoir un accès intérieur aux salles de conférences ce qui donne un confort moral et physique à Françoise.

Elle déambule dans ce bâtiment et soudain son regard est attiré par une femme qu’elle reconnaît aussitôt : Lilou Macé est là, à deux mètres d’elle portant une robe aux motifs marrons sur fond clair, très élégante, souriant et conversant avec une femme, sans doute une lectrice à elle. En effet sans le savoir ses pas l’ont mené directement à la salle de dédicaces des auteurs.

Une curieuse timidité s’empare d’elle, pourtant je puis vous affirmer que Françoise n’est pas timide, réservée certes et bien éduquée ; mais devant Lilou Macé elle est presque «  nuche », en plus elle possède déjà tous ses bouquins et n’en a aucun avec elle, pas simple pour demander une dédicace, elle n’a  même pas pensé a prendre un appareil photo !

Il faut vous dire que Françoise n’est pas venue pour ça, sa nouvelle passion, depuis 30 ans déjà, c’est la pratique Quantique sous toutes ses formes, commencer avec le merveilleux Deepac Chopra et maintenant il y a des cours sur ce sujet : qu’elle chance ! Donc pas besoin d’appareil photo, ni des livres de Lilou pour ça.

Oui, mais pour l’instant, c’est pourtant ce qui lui serait nécessaire, car elle a vraiment envie d’échanger quelques mots avec elle et pourquoi ne pas recevoir une dédicace et la cerise sur la gâteau une photo.

Sachant qu’un désir pur de cœur est toujours exaucé, Françoise lâche prise de ses petits «  tracas » et aborde simplement la jeune femme. L’échange est harmonieux, sympathique, ne voulant pas prendre trop de temps à Lilou, très sollicitée, Françoise se retire en ayant eu au moins une photo prise par son compagnon, via son portable. Ah ces petites boites qui nous suivent partout et qui bientôt feront le café, même si Françoise n’a pas un amour passionné pour ces balises Argos, ce jour- là elle est heureuse de cette invention.

Et chic elle vient d’avoir sa cerise donc, par déduction le gâteau n’est pas loin !

Ne pensant plus a rien pour le reste de la soirée, savourant juste le plaisir de ce qu’elle vit, Françoise continue sa ballade dans son hôtel tout en ressentant un profond sentiment de douceur.

Demain se dit-elle c’est le grand jour, comme je suis chanceuse, en plus toute la soirée elle rencontre des personnes qu’elle adore et connaît: Lise Coté, Pierre Lessard, Josée Clôatre et des inconnus, dont la passion est la même que la sienne : le bien-être de l’autre, le monde nouveau, les manifestations instantanées : enfin la terre nouvelle de cette humanité merveilleuse dont Françoise et tant d’autres font partie.

C’est certain, avec toutes ces belles rencontres,  cette nuit pas besoin de berceuse, elle est déjà au paradis, comme le monde est beau, comme j’ai de la chance de vivre en ce moment : qu’elle grâce !

Et Françoise s’endort dans la lumière de son cœur, bercée par la musique de l’amour de la vie.

Le lendemain, fraîche comme une rose, vêtue de bleu, couleurs de Marie, Hisis, le cœur léger elle se dirige vers la salle des conférences organisées par les Editions Ariane.

Quelle journée, quelle ambiance, quelle magie tout absolument tout est a la hauteur de ses espérances.

 Ce rendez-vous annuel est pour Françoise une de ses priorités et ce depuis sa création, son but ramené dans sa commune de Bussac en Dordogne tous les enseignements reçus, afin –que les personnes qui viennent la consulter puissent bénéficier de soins avant-gardistes (et oui cette région, pourtant terre des tibétains et de l’homme est souvent oubliée.) Mais revenons à Toulouse, cela lui a permis de rencontrer des personnages d’une inestimable valeur : Gregg Braden, Lise Coté, Lee Caroll et pardon pour ceux et celles que je ne cite pas ; je reviendrais là-dessus dans un autre article.

A la pause déjeuner Françoise va fureter du côté des livres : pensez donc un stand Ariane Editions au complet, ça ne se refuse pas !

Ses yeux du cœur sont attirés par un ouvrage du docteur Eric Pearl, cette personne fait une conférence skyppe dans l’après-midi donc pas de hasard.

Et Lilou est toujours là, très entourée.

Une idée peu commune germe soudain dans l’esprit de Françoise : demander une dédicace à Lilou sur le livre de Pearl, c’est le seul qu’elle a : pour sûre cela ne se fait pas, mais bon, une fois n’est pas coutume.

Ce qui est extraordinaire dans cette histoire c’est que Lilou accepte de bonne grâce et m’écrit sa dédicace dans cet ouvrage, je trouve ça très grand : gratitude madame, je vous love !

Mais le côté curieux, c’est que Lilou dit à Françoise qu’elle a retiré toutes les vidéos de sa télé faites sur ce monsieur, donc Eric Pearl, pour des raisons qui lui sont propres. Françoise regarde Lilou droit dans les yeux et lui dit simplement : » bon alors je suis le trait d’union de quelque chose, pour avoir choisi ce livre et aucun autre pour que tu me le dédicaces, j’aime bien cette idée !)

Lilou sourit simplement et acquiesce.

 Pour le restant de son séjour Françoise n’aura plus d’échange verbal avec lilou, juste un clin d’œil  de sympathie, beau souvenir quand même !

Mais une chose est certaine il y a un lien entre elle, Pearl et Lilou, mais lequel ? Il y a longtemps qu’elle ne croit plus au hasard surtout présenté ainsi et une raison spirituelle lie tout ça !

La réponse ne tarde pas, dans l’après-midi lors de la conférence de ce docteur, rien qu’à son regard et surtout sa vibration, Françoise le reconnaît de suite, il vient d’Atlantide, oui c’est a cette époque qu’elle a rencontré sous d’autres traits, dans d’autres circonstances, ces deux personnes, qui aujourd’hui se présentent a elle sous une autre identité, mais dans le même genre c'est-à-dire lui homme et elle femme. Ce qui n’a pas changé : leur vibration personnelle, respective et chose curieuse les sentiments, tout au moins ceux de lilou. Comme nous sommes tous engagés dans le navire évolution amour lumière, je mets mon ouvrage sur le métier de mon cœur pour savoir ce que je dois faire de tout ça et qu’elle est ma perle à moi.

Je crois que la première, est une admiration infinie pour LA VIE et ce champ quantique dans lequel nous sommes tous et ou tout est contenu : même ce soit disant passé et l’amour qui y règne.

Cette rencontre m’a permis de me reconnecter à une science de guérison et d’évolution merveilleuse qui était une des clés de l’Atlantide, mon cœur est ouvert et je rends grâce à cette nouvelle ère ou chacun est exactement à sa place et joue à la perfection son jeu de rôle pour permettre au fil des rencontres d’évoluer et de guérir ou rapatrier ce qui fut le cas de Françoise cette précieuse connaissance.

Du plus profond de mon cœur : merci !

La Vie je t’aime pour ce que tu es, pour ce que je suis : moi Françoise sur le chemin de l’individualisation et de l’expression consciente de ma Divinité.

Gratitude et amour infini !

Françoise Chinour.

 Jessica, une drôle de Dame.

Il y avait longtemps que Jessica était engagée dans l’expression de la lumière, plus exactement de sa conscience. Chaque jour, elle s’efforçait de faire au mieux : être bien alignée, rester centrée, émettre ses intentions les plus pures possible, en vérifiant bien qu’elles venaient de son cœur et elle essayait sans toutefois ne pas y parvenir toujours, de ne pas être, ni dans le jugement, la colère ou d’autres humeurs qui pouvaient la tirer par le bas, suivant une de ses phrases.

La plupart du temps elle était semble-t-il heureuse !

Mais au fond de son cœur demeurait une absence, un vide, une tristesse qu’elle ne parvenait ni à comprendre, ni à faire partir et des douleurs dans tout son corps principalement les os.

Elle avait parmi ses amis, femmes et hommes,  des gens merveilleux, tous engagés dans la co création et chacun d’eux apportait sa pierre à l’édifice de La Grande Oeuvre Humaine : comme ce futur semblait extraordinaire ! Alors pourquoi cette petite pointe devenue quasi permanente au fond d’elle ?

Son regard perdait, pour ceux qui la connaissent très bien, petit à petit son éclat, néanmoins elle était toujours souriante et prête à aider ceux dans la souffrance, même si l’heure était tardive.

Ses amis disaient : » Jessica elle fait des miracles, quelle chance nous avons de la connaître ! »

Jessica pensait exactement la même chose de ses précieux compagnons, sa fidélité était sans limite.

Néanmoins un matin, ayant passée une nuit agitée, elle osa enfin aller regarder ce coin en elle si vide.

En premier, elle accepta d’être pleinement créatrice de ce manque et ce mis dans l’accueil, sans rien juger, surtout pas elle !

Ne sentant aucun changement, elle ressentit que le pardon était nécessaire, a qui a quoi elle l’ignorait ?

Une paix, tout au moins un sentiment de mieux être s’installa en elle, c’était déjà ça ! Pourtant elle savait qu’elle n’était pas au bout de ce travail «  sur elle » et comme un bon petit soldat armé de lumière elle continua à se laisser guider.

Soudain elle entendit une voix, si douce, que les larmes coulèrent de ses yeux : »

Tu te demandes sans doute pourquoi tu as toujours ce vide et comment tu peux le remplir ? »

Jessica « Oui ! Et surtout de quoi ai-je tant besoin ? »

«  Besoin ! Es-tu certaine d’employer le bon mot ? »

Jessica « Euh, vous voulez répéter la question ? »

Sortie trop brutalement à son goût de son bien-être, Jessica se mit a pleurer tellement elle était déçue, en plus elle se sentait découragée et encore plus seule.

Une espèce de ras-le-bol s’empara d’elle et tout à coup l’envie de tout envoyer balader trotta dans sa tête.

Elle en avait marre de tout ce travail sur elle depuis tant et tant d’années et pourquoi cela semblait si simple pour certains qui en apparence ne faisaient rien et si pesant parfois pour elle. Une révolte grondait, un sentiment de c’est trop dur, je me sens seule et pourtant en étant très franche elle avait remarqué qu’un ennui était toujours résolu rapidement avec tout les process qu’elle faisait au quotidien.

Comme si un génie était dans son cerveau, un éclair de lucidité la traversa et une réponse se fit jour : détachement !

Oui détachement, comme c’était simple !

En effet même si tous ses soucis trouvaient toujours la solution la plus juste, elle avait complètement oublié de se vérifier si en elle il restait un reliquat d’émotions perturbatrices et de s’en détacher.

Youpi la vie était belle, lalalalalalala !

Comme tout était simple, soudain elle se dit : «  en effet le soir elle ne se contentait pas de seulement vider les poubelles du jour, elle nettoyait aussi le contenant et c’est ce qu’elle avait oublié de faire pour elle, en elle !

Maintenant elle allait inclure cette pratique fort simple et tellement logique.

En effet la voix avait raison, elle n’avait besoin de rien, juste de se vider encore d’avantage de reliquats d’émotions, de pensées qui à la longue devenaient pesants et surtout incompréhensibles.

Un profond sentiment de paix monta du fond de son cœur et un grand soupire de  lâcher prise s’en suivit.

Soulagée, libérée, Jessica remercia profondément ce moment et se plongea dans l’amour douceur et sa journée continua naturellement.

Françoise Chinour